A l’occasion de mon tour du monde j’ai passé dix jours dans le nord de la République Dominicaine, la région de Samana. Je suis restée plus particulièrement dans la ville de Las Terrenas, chez une amie qui s’est installée là il y a quelques mois avec son mari. Quand j’étais petite mes parents nous avaient déjà amenés avec mon frère dans le sud du pays, à Punta Cana. Je voulais donc découvrir un nouvel endroit de ce pays !
LA REPUBLIQUE DOMINICAINE | SOMMAIRE
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FICHE D’IDENTITE
MON ARRIVÉE
LA CASCADE EL LIMON
LOS HATISES & CAYO LEVANTADO
BALADE À CHEVAL SUR LA PLAGE
COINS BONUS
| Fiche d’identité de la République Dominicaine
- La République Dominicaine est nichée sur l’île d’Hispanola, aux côtés d’Haïti.
- Sa capitale est Saint-Domingue et le pays compte environ 10 millions d’habitants.
- On y parle espagnol et la monnaie est le peso dominicain (1€ = environ 60 pesos).
- Il y a 5 ou 6h de décalage avec la France selon les saisons.
- Il y a une taxe touristique d’entrée obligatoire de 10$ (à payer obligatoirement en dollars mais il y a un bureau de change juste à côté en arrivant à l’aéroport donc pas de panique) et une taxe de sortie de 20$ !
- Le salaire moyen est d’environ 200€ par mois. On voit souvent des jeunes filles en couple avec des personnes âgées et enceintes dès l’adolescence. Elles sont aussi à fond dans la coiffure, la manucure et la pédicure !
- Principales ressources économiques : le tourisme, l’agriculture et enfin le bâtiment.
- Le gouvernement et les autorités sont corrompues, ils cherchent souvent des pots de vins surtout lors de barrages routiers.
| Mon arrivée en République Dominicaine
Après avoir passé trois semaines de rêves en Guadeloupe où les rencontres et le partage n’ont cessé de faire partie de mon quotidien, j’ai eu un peu le blues à mon arrivée en République Dominicaine. Il me fallait quelques jours pour tourner la page de l’île papillon et me dire qu’il fallait que je reparte avec une ardoise vierge pour découvrir une nouvelle population et une nouvelle culture. Je savais déjà que j’allais avoir un soucis de taille : la barrière de la langue. J’arrive à comprendre l’espagnol quand je me concentre bien et que la personne articule comme il faut, en revanche pour m’exprimer correctement et discuter, c’est une autre chose. J’aurais dû bien plus écouter que ça pendant mes cours de LV2 au collège et au lycée.
Je prends un vol direct Pointe à Pitre – Saint Domingue puis une « guagua » (un bus) pour rejoindre directement Las Terrenas. Dites vous qu’il n’y a pas de bus depuis l’aéroport de Saint-Domingue pour rejoindre le centre ou les autres stations. Pas d’autre choix que de prendre un taxi (et il faut négocier dur). Je fais connaissance avec une française dans l’avion pour pouvoir partager un minimum les frais. Mon trajet est très court et le sien un peu plus long, le taxi man nous propose d’abord 40€ pour nous amener. Je le trouve juste complètement fou et refuse directement ! Il descend ensuite à 30€, expliquant que je n’aurais à payer « que » 10€ et ma compatriote 20 vu qu’elle va bien plus loin.
Bon, sachant que je n’ai pas d’autre moyen de transport, nous acceptons finalement. Eh bien pour 10€ j’ai fait.. 5 minutes de trajet top chrono. Je n’ai jamais payé quelqu’un à la minute aussi cher je crois ! La station est en fait bien plus proche que je ne pensais quand on vient de l’aéroport et si j’avais su, j’aurais fait du stop ou même bien marché 30 minutes! Bref, 2h et seulement 7€ plus tard, j’arrive enfin à Las Terrenas en fin de journée. Au passage, j’ai la bonne idée de descendre de la moto-taxi qui m’emmenait du terminal de bus à la plage, du côté droit. Grave erreur, c’est le côté du pot d’échappement et ils sont très rarement protégés dans ces pays-là. Voilà que mon mollet vient se coller au pot archi brûlant et là je sais déjà ce qui m’attend.
Lors d’un accident de scooter au Vietnam l’année dernière mon mollet s’était retrouvé sur le pot d’échappement et j’avais été brûlé à deux endroits, me poussant à devoir le soigner matin et soir pendant plus d’un mois. J’avais donc pour la deuxième fois de ma vie en un an, une brûlure au second degré à cause d’un pot d’échappement. Bref, je retrouve mon amie Carole et rencontre son mari Yann puis vais m’écrouler de fatigue !
Le lendemain, je passe une première journée sur place à faire du repérage, me déplacer en stop entre les petits villages pour avoir une idée des lieux où je suis et prendre contact avec un dominicain que Carole connaît. Rendez-vous est donc prit pour le lendemain avec Kéni. C’est commun en République Dominicaine de manger dans les boui-boui sur le bord des routes alors je décide d’entamer cette tradition et rencontre Pablo, qui fait griller de la viande sur le trottoir. Il est vraiment très sympa et j’essaye de discuter avec lui comme je peux avant de déguster son poulet grillé avec des bananes plantins et des « yucca » (les ignames). Un régal !
| La cascade El Limon & ses alentours
Kéni vient me chercher aux aurores et nous voilà partis sur sa moto pour la cascade El Limon ! J’avais vu des photos de cet endroit et avait hâte de la découvrir vu la beauté qu’elle présageait. Il y a plusieurs chemins pour accéder à la cascade, chacun étant aménagé pour vous pousser à partir avec un guide à cheval. Pour moi qui fait de l’équitation depuis longtemps, j’avais lu en ligne que le chemin était très dur pour ces petits chevaux alors il était hors de question que je monte sur l’un d’entre eux !
Kéni l’avait bien compris et nous sommes partis à pied. Le chemin est très rapide en plus, une bonne demie-heure de plat (un peu boueux par endroit certes) et nous voilà arrivés à une plateforme où plusieurs dominicains proposent des objets ou des rafraichissements à la vente. Pendant la marche Kéni m’a beaucoup parlé de sa culture (oui car j’arrive à comprendre l’espagnol mais j’ai beaucoup de mal à m’exprimer!), notamment d’où proviennent les richesses de son pays : en premier le tourisme, en second l’agriculture et en troisième le bâtiment.
Il m’a aussi expliqué quelque chose d’étonnant, sa religion lui interdit de danser tout ce qui est bachata, merengue, etc.. soit les danses traditionnelles ici, car être collé-serré avec une femme est considéré comme mal.
Bref, à partir de la plateforme donc, il faut descendre des dizaines et des dizaines de marches! (Là tu sais que le retour va faire mal). Une fois en bas il est enfin possible de découvrir la cascade El Limon.. magique ! Surtout quand on y vient tôt le matin comme moi et qu’il n’y a quasiment personne, car dans la journée des milliers de personnes s’y pressent. On peut même se baigner dans le bassin juste en dessous de la cascade. C’est vraiment un lieu magnifique !
Ma balade avec Kéni continue à la fabrique de cigare. Je découvre pour la première fois de ma vie comment ils sont fabriqués alors qu’on m’en offre un à fumer pendant ce temps. Premier cigare pour moi et je dois dire que c’est très bon, surtout qu’il avait un petit goût à la vanille ! Je ne suis pas du tout une fumeuse de base et ne supporte pas la cigarette traditionnelle mais je dois dire qu’un petit cigare passe facilement. La visite se termine et je me retrouve à finir mon cigare sur la moto pendant que Kéni conduit, un moment assez épique !
Je termine cette journée en suivant Kéni chez Sarah, qui nous a préparé à manger. Je me retrouve à déguster un festin : poisson, poulet, légumes, riz, bananes frites, etc.. C’est vraiment un régal ! D’autant plus que Sarah est adorable et me questionne beaucoup sur mon voyage. Cette journée avec Kéni fut vraiment très enrichissante et m’a permise d’en apprendre beaucoup plus sur la culture dominicaine.
| Le parc national des Haitises & Cayo Levantado
Le lendemain, je retrouve encore Kéni aux aurores, direction Samanà. Une grosse demie-heure de route plus tard, je découvre le petit port de ce village, d’où partent tous les bateaux d’excursions. La mer paraît assez agitée, il y a devant moi un assez gros bateau et plusieurs petites barques. Je prie alors très fort pour ne pas finir sur la barque alors que je vois déjà des gens monter dedans. Petit suspens et puis.. Yes, je grimpe sur le plus gros bateau. Certes ça ne sera pas en petit comité mais au moins je vais épargner un peu mon estomac et aussi mes affaires.
Nous sommes une cinquantaine de personne, je sympathise rapidement avec une famille de français près de moi et nous voilà partis pour 40 bonnes minutes de traversée de la baie de Samanà, pour rejoindre le parc national des Haitises. Ce que je craignais arriva quand même; la mer étant très agitée, mon estomac fait rapidement des siennes et les embruns des vagues viennent me tremper de la tête aux pieds.
Je fais comme je peux pour protéger mes affaires de l’eau mais j’avoue haïr ce moment présent d’une grande force. Une fois ENFIN arrivés à l’entrée du parc, ma mauvaise humeur disparaît peu à peu face à la beauté de ce site naturel. Un mélange entre la Baie d’Halong du Vietnam et les mangroves de Guadeloupe.
Nous faisons le tour de ces îlets en tentant de comprendre les explications du guide (il parle espagnol, anglais, français et allemand mais reste difficile à comprendre en dehors de sa langue natale!). Nous découvrons plusieurs caves creusées naturellement dans la roche dont certaines paraissent énormes! Finalement, le bateau s’arrête près de l’une d’entre elles et nous voilà à descendre directement au coeur d’une immense cave. Elle fait des dizaines de mètres de hauteur et traverse de part en part le petit ilet. On peut donc marcher pour passer d’un côté à l’autre tout en observant les nombres stalagmites et stalactites, c’est assez impressionnant.
Mais encore une fois cette belle découverte est vite effacée par la pluie qui s’abat sur nous dès notre sortie et me trempe de la tête aux pieds. On reprend la mer et rapidement on accoste sur un nouvel îlet où une plage s’est formée entre les grosses roches. Ca pourrait être un superbe endroit je suis sûre ! Sauf qu’il pleut encore et que mes nerfs commencent à en avoir un peu marre. Certains touristes en profitent pour se faire couper une noix de coco pendant que d’autres parcours le petit sentier qui permet de découvrir d’autres petites caves derrière la plage.
Après cet arrêt, nous voilà de retour sur le bateau pour retraverser la baie de Samana en direction de l’île Cayo Levantado. J’avais vu des photos qui paraissaient vraiment belles et avait hâte d’envoyer le drone au dessus ! Bon, les nouvelles 40 minutes de traversée mon encore retourné l’estomac et j’en ai haïe chaque seconde jusqu’à toucher terre. Mais bon. (Surtout que pendant chaque traversée les guides donnaient une tournée de rhum coca à tout le monde, n’en buvant pas, rien que l’odeur me donnait une nausée supplémentaire).
Bref, Cayo Levantado ! Un petit bout de paradis de la région nord de la République Dominicaine. C’est une petite île dont une partie est occupée par un grand hotel de luxe (mais qui est bien camouflé dans la végétation). Nous allons donc de l’autre côté et découvrons une superbe plage de sable blanc et d’eau turquoise. Avec un grand soleil et le vent qui est tombé, les conditions sont (enfin) parfaites pour profiter de cet endroit.
Mais avant ça, à table ! J’avoue que je crève de faim et après toutes ces péripéties il est temps de se remplir le ventre. On s’assoit tous autour des tables de pique nique et recevons directement des plateaux de nourriture à se partager (avec toutes les excursions qui viennent ici, le système est bien rodé). Nous voilà avec du poulet, du poisson, du riz cuisiné, des légumes, des fruits… Pas très varié de ce que je mange depuis le début de mon tour du monde mais ça fera l’affaire.
Une fois le ventre plein, nous voilà avec une bonne heure de libre pour profiter de Cayo Levantado. Certains plongent directement dans l’eau, d’autres lézardent au soleil et moi, je lance mon drone en l’air. Ayant toujours ma brûlure au mollet je n’ai aucune envie de me mouiller pour devoir désinfecter et refaire le pansement par la suite. Les images depuis le ciel sont assez exceptionnelles. La fin de journée approche et nous retrouvons enfin les quais vers 17h.
C’était trop tôt pour moi mais si vous tombez à la bonne saison, vous pourriez avoir la chance de voir des baleines à bosses ou des dauphins pendant les différentes traversées ! Avant de rentrer Kéni m’arrête dans une rue de Samanà où les petites maisons sont collées les unes au autres chacune étant d’une couleur différentes ! Je suis bien lessivée de cette journée..
| Une balade à cheval avec le Rancho Playa
Nouvelle activité pour moi, je m’en vais faire une petite balade à cheval sur la plage! Depuis mon plus jeune âge je monte à cheval et j’ai même ma propre jument en France, je suis donc très excitée à l’idée de retrouver ces sensations que j’aime tant. J’ai l’occasion de faire cette balade grâce à Carole, mon amie qui m’héberge et qui travaille au Rancho Playa et grâce à Nicole, la propriétaire de ce ranch ! Je fais la rencontre de Gringo, petit poney gris qui va devoir me supporter pendant les deux heures à venir.
Le ranch est vraiment très mignon : toutes les constructions sont en bois, les prés ont des abris pour chaque poney, la carrière permet de monter également sans sortir du ranch et tout est niquel grâce aux différents employés qui travaillent ici. Me voici donc à partir avec Carole et Nicole, sur Gringo, à travers les cocotiers. C’est assez génial car le chemin pour rejoindre la plage traverse un petit village puis des champs entiers de cocotiers. Après une bonne demie-heure nous voilà enfin arrivée les pieds dans l’eau ! Les plages sont assez immenses ici et il n’y a vraiment personne d’autre que nous. Malheureusement l’eau est un peu agitée et n’est pas aussi bleue qu’elle devrait être. Qu’importe, c’est tout de même magnifique !
On rentre dans l’eau avec nos poneys pour contourner l’embouchure de la rivière et nous voilà à marcher avec de l’eau jusqu’aux mollets, les petites vagues s’écrasant sur les poneys bien habitués et absolument pas peureux. Après avoir marché un moment sur la plage, on s’enfonce dans une forêt de cocotiers pour galoper un bon coup ! Un endroit vraiment magnifique ! On retrouve à nouveau la plage pour faire la même chose sur le sable, un vrai paysage de carte postale.
Les sensations sont tellement bien ! On retraverse l’eau avec les poneys et nous voilà de retour au ranch après deux bonnes heures de super balade. Si jamais vous avez l’occasion d’aller à Las Terrenas ou Samanà, n’hésitez vraiment pas à faire un tour au Rancho Playa. Que vous soyez cavalier confirmé, débutant ou avec des enfants, Nicole, Carole & leur équipe ont tout pour vous faire passer un superbe moment.
Coordonnées du Rancho Playa
Vous pouvez contacter Nicole au +1 829-868-5233 ou Carole au + 1 829 750 3332 et retrouver toutes les informations sur le site internet ou la page facebook du Ranch ! Pour avoir une idée, la balade de 2h entre palmiers et plage coûte 65 dollars par personne. Adresse : Rancho Playa, La Barbacoa, Calle El Limón, 32000 El Limón. E-mail : info@ranchoplayalt.com
| Les petits coins bonus
Pour vous déplacer à partir de Las Terrenas, soit vous avez l’occasion d’avoir un scooter loué pour être tranquille et vous déplacer à votre guise, mais je trouve la location excessivement chère : 30$ la journée, 20$ par jour si on prend une semaine entière pour les tarifs moyens, soit vous décidez d’utiliser les « motos conchos », les motos taxi, qui sont assez bons marchés quand on connaît les prix et qu’on ne se fait par arnaquer ( dès mon premier jour un driver a voulu me faire payer 200 pesos, 4€, alors que ça en coûtait 50, soit 1€) ou vous pouvez encore tenter le stop qui fonctionne bien, mais parfois vous pouvez en fait tomber sur des taxi sans le savoir et vous devrez quand même payer (user de ses charmes quand on est une fille peut fonctionner à avoir la course gratuite dans tous les cas, il suffit juste de faire un joli sourire !).
Donc, selon votre mode de transport voici quelques idées de coins à visiter dans les alentours : Playa Coson, une plage vraiment immense bordée de cocotiers parfaits pour faire des photos car inclinés vers la mer, où l’on peut très facilement se retrouver tout seul tellement elle est grande. Attention, c’est un coin reconnu pour le surf car les vagues peuvent être grosses et les courants très forts ! C’est plus une plage pour marcher, bronzer et tremper les pieds que pour partir faire du snorkelling. Tant qu’à aller à Coson, poussez jusqu’au point de vue qui se trouve quelques centaines de mètre sur la droite après le (seul) rond point que vous croiserez sur cette route. Il offre une superbe vue sur les plages et les forêts de cocotiers !
Playa Bonita est aussi une plage sympa mais qui a beaucoup souffert des ouragans et dont certains endroits ont vraiment subit l’érosion. Si vous avez du temps, poussez jusqu’à Las Galleras, un endroit assez perdu où vous trouverez facilement des immenses plages sauvages pour avoir l’impression d’être seul au monde !
Clique ici pour voir mes tips sur la République Dominicaine !
Petits tips sur la Rép Dom
- A l’aéroport de Saint Domingue il n’existe donc encore aucun bus public pour rejoindre le centre ou tout autre endroit, l’usage d’un taxi est obligatoire et il faut négocier sévère ! (Ou alors partager à 4, ou alors tenter le stop).
- Une « guagua » (un bus) depuis Saint-Domingue jusqu’à Las Terrenas coûte 375 pesos, environ 8€ et met à peu près 2h / 2h30 de trajet. Arrivée à la station de bus au nord de la ville, des motos taxi vous attendront, les tarifs normaux sont à 50 pesos pour un endroit dans la ville, un peu plus si vous commencez à aller à l’extérieur..
- Dans la rue on peut facilement trouver à manger pour 2 à 3€ (entre 100 et 150 pesos) et les quantités sont bien servies ! Riz, poulet, bananes.. c’est un peu toujours la même chose mais c’est bon! Un soda dans un « comedor » (une petite épicerie) vous coutera à peine 40 cents.
- La location de scooter est plutôt chère, de 20 à 30$ la journée selon la durée, mais le plein d’essence coûte seulement 3€. Sinon il est très facile de faire du stop, mais parfois on vous demandera des petites pièces en échange..
- Adresse sympa d’une auberge de jeunesse à Saint-Domingue : Island Life Backpacker Hostel dans le quartier colonial. 15$ la nuit avec petit-déj, grande auberge super propre avec tout ce qu’il faut et un staff très sympa ! (Si besoin, sachez qu’Uber existe à Saint-Domingue)
La suite de mon tour du monde se passe en Haïti ! Voici l’article et mes conseils sur ma traversée de la frontière terrestre entre les deux pays.